- mer. 03 févr. 2010, 9:55 am
#7600
deux petits poèmes dont les auteurs sont inconnus...Ci-gît un pécheur endurci
Dont le bonheur touche à l’extrême
Car depuis qu’il repose ici
Il fait ses asticots lui-même
Et celui ci qui concerne le ver...Luisant !
Je suis un ver luisant,
Je suis un ver galant,
Sans bougie et sans dame
Pour y poser ma flamme.
Je drague toute la nuit
Avec mon cul qui luit…
Dieu que la vie est terne
Nul ne voit ma lanterne !
Mais que vois-je là bas ?
Je ne me trompe pas… C’est une ver luisante !
Comme elle est reluisante !
Je vais lui proposer de prendre un verre,
Pourvu que je ne pique pas mon fard !
Facile pour la charmer
De ma queue allumée ;
Facile pour lui plaire
Avec ma pile wonder.
Je suis le six à pile
Et je suis survolté !
Mon disjoncteur jubile
J’vais la faire clignoter.
Notre ver solitaire et galant
S’enfuit vers ce point luisant
Et soudain déchirant la nuit,
Jaillit un cri, un juron vêtu de trois mots :
Merde, un mégot !
Dont le bonheur touche à l’extrême
Car depuis qu’il repose ici
Il fait ses asticots lui-même
Et celui ci qui concerne le ver...Luisant !
Je suis un ver luisant,
Je suis un ver galant,
Sans bougie et sans dame
Pour y poser ma flamme.
Je drague toute la nuit
Avec mon cul qui luit…
Dieu que la vie est terne
Nul ne voit ma lanterne !
Mais que vois-je là bas ?
Je ne me trompe pas… C’est une ver luisante !
Comme elle est reluisante !
Je vais lui proposer de prendre un verre,
Pourvu que je ne pique pas mon fard !
Facile pour la charmer
De ma queue allumée ;
Facile pour lui plaire
Avec ma pile wonder.
Je suis le six à pile
Et je suis survolté !
Mon disjoncteur jubile
J’vais la faire clignoter.
Notre ver solitaire et galant
S’enfuit vers ce point luisant
Et soudain déchirant la nuit,
Jaillit un cri, un juron vêtu de trois mots :
Merde, un mégot !